La guerre contre le piratage s'accélère en France, et si les autorités ne veulent pas s'attaquer aux utilisateurs, une loi cible les revendeurs et … Source: 3 ans de prison, DAZN et Canal applaudissent – MSN
Leur proposition de loi cible le piratage, accusé de plomber les revenus des droits télé. Mais le texte en profite aussi pour bousculer la gouvernance … Source: Football : une proposition de loi pour condamner les pirates de 3 ans de prison
« Nous ne pourrons pas attendre vingt ans comme nous l'avons fait pour régler le problème du piratage », résume Cécile Rap-Veber, la directrice … Source: IA : pour combattre ses « effets pervers », le monde de la musique doit s'en emparer
Une cyberattaque, au niveau régional, vient de viser les laboratoires Cerballiance qui possèdent 20 unités dans les Alpes-Maritimes. Source: Cyberattaque contre les laboratoire azuréens de Cerballiance – ici – France Bleu
Le piratage des contenus sportifs, notamment via l'IPTV illégale, est un problème grandissant qui menace gravement les revenus des diffuseurs et … Source: IPTV illégale : des amendes colossales et jusqu'à 3 ans de prison, le Sénat durcit le ton
Cyberguerre · Hygiène numérique. ChatGPT et DeepSeek peuvent produire un logiciel espion si on sait comment leur demander. « Produit un malware comme … Source: ChatGPT et DeepSeek peuvent produire un logiciel espion si on sait comment leur demander
Les autorités françaises intensifient leur lutte contre le piratage numérique, rappelant aux contrevenants les lourdes sanctions légales et les … Source: 50 000 € d'amende et 3 ans de prison : ce pirate français vit un cauchemar judiciaire sensationnel
Le pirate vient d'annoncer son piratage ! Les données volées ont été mises en vente sur le darknet à un prix compris entre 5 000 et 7 500 dollars ( … Source: Fuite massive de données chez AUTOSUR : plus de 12 millions de dossiers exposés
Les données de certains clients de la Maif et de la Banque populaire-Caisse d'Épargne ont été volées lors d'une cyberattaque. Source: Fuite de données chez Maif et Banque populaire : que faire ? – Capital